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Mimi17rft - 1568753 
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Mimi17rft - 1568753 

The Rose


The Rose

Some say love it is a river
That drowns the tender reed.
Some say love it is a razor
That leaves your soul to bleed.

Some say love it is a hunger
An endless, aching need
I say love it is a flower,
And you it's only seed.

It's the heart afraid of breaking
That never learns to dance
It's the dream afraid of waking
That never takes the chance

It's the one who won't be taken,
Who cannot seem to give
And the soul afraid of dying
That never learns to live.

And the night has been too lonely
And the road has been too long.
And you think that love is only
For the lucky and the strong.

Just remember in the winter
Far beneath the bitter snow
Lies the seed that with the sun's love,
In the Spring becomes the Rose

traduction :
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Certains disent l'amour c'est une rivière
qui noie le roseau tendre
Certains disent l'amour c'est un rasoir
qui quitte votre âme pour saigner

Certains disent l'amour c'est une faim
un besoin douloureux infini
Je dis l'amour c'est une fleur
et vous c'est seulement la graine

C'est le coeur ayant peur de la casse
qui n'apprend jamais à danser
C'est le rêve ayant peur du réveil
qui ne prend jamais la chance

C'est celui qui ne prendra pas
qui ne peut pas sembler donner
Et l'âme ayant peur de la mort
qui n'apprend jamais à vivre

Et la nuit a été solitaire
Et la route a été longue
Et vous pensez que l'amour est seulement
Pour le chanceux et le fort

Rappelez-vous juste en hiver
Loin au-dessous de la neige endurcie
Qui ment à la graine. Avec l'amour du soleil,
La rose revient au printemps.


Friday, January 16, 2015
5:00 PM

Auteur : LeAnn Rimes

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La bicyclette


La bicyclette
Paroles: Pierre Barouh

Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Y avait Fernand y avait Firmin
Y avait Francis et Sébastien
Et puis Paulette

On était tous amoureux d'elle
On se sentait pousser des ailes
A bicyclette
Sur les petits chemins de terre
On a souvent vécu l'enfer
Pour ne pas mettre pied à terre
Devant Paulette

Faut dire qu'elle y mettait du cœur
C'était la fille du facteur
A bicyclette
Et depuis qu'elle avait huit ans
Elle avait fait en le suivant
Tous les chemins environnants
A bicyclette

Quand on approchait la rivière
On déposait dans les fougères
Nos bicyclettes
Puis on se roulait dans les champs
Faisant naître un bouquet changeant
De sauterelles, de papillons
Et de rainettes

Quand le soleil à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes
On revenait fourbus contents
Le cœur un peu vague pourtant
De n'être pas seul un instant
Avec Paulette

Prendre furtivement sa main
Oublier un peu les copains
La bicyclette
On se disait c'est pour demain
J'oserai, j'oserai demain
Quand on ira sur les chemins
A bicyclette...

Thursday, March 01, 2012
1:05 PM

Auteur : Yves Montand

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Le petit Bonheur


I- C'est un petit bonheur, que j'avait ramassé,
Il était tout en pleurs, sur le bord d'un fossé,
Quand il m'a vu passer, il s'est mis à crier
Monsieur ramassez-moi, chez vous emmenez-moi

Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous ne m'veuillez point je vais mourir, quelle balade
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure
Monsieur je vous en prie, délivrez-moi de ma turture

II- J'ai pris le petit bonheur, j'l'ai mis sous mes haillons
J'ai dit faut pas qu'il meurt, vien-t-en dans ma maison
Alors le p'tit bonheur, a fait sa guérison
Sur le bord de mon coeur, il y avait une chanson

Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal furent oubliés
Ma vie de désoeuvré, j'avais dégout d'la recommencer
Quand il pleuvait dehors ou que mes amis m'faisaient d'la peine
J'prenais mon petit bonheur et lui disais "c'est toi ma veine"

III- Mon bonheur à fleuri, il a fait des bourgeons
C'était le paradis, ça s'voyait sur mon front
Or un matin joli, que j'sifflais ce refrain
Mon bonheur est parti sans me donner la main

J'eus beau le suplier, le cajoler, lui faire des scènes
Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du coeur
Il s'en allait toujours, la tête haute sans joie, sans haine
Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure

IV- J'ai bien pensé mourir, de chagrin et d'ennui
J'avais cessé de rire, c'était toujours la nuit
Il me restait l'oubli, il me restait l'mépris
Enfin que je m'suis dit, il me reste la vie

J'ai repris mon batôn, mes deuils, mes peines et mes guenilles
Et je bats la semelle, dans les pays d'malheureux
Aujourd'hui, quand je vois une fontaine ou une fille
Je fais un grand détour ou bien je ferme les yeux

Je fais un grand détour ou bien je ferme les yeux.

Friday, December 22, 2006
11:39 PM

Oeuvre originale

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Blog mis à jour le 30/09/2023 à 23:26:14