Vous souriez Marie De mélancolie Près du feu Étincelle vos yeux Vous pleurez Une douleur Lancinante Abaisse votre tête Sur vos genoux Dans une éternelle prière Vos doigts Ensanglantent vos chairs D'un temps qui ne meurt Malgré l'outrage du temps Vos yeux Ont gardés ce reflet merveilleux Le feu s'est consumé D'horizons aimés Demain c'est le printemps Combien de fleurs Au vent du matin Ont été jetées à terre Sont devenues poussières Tout est chimère ...
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Enregistré le 2 Octobre 2016 à 16:13 par 3081718
Oeuvre Originale
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