Je souffre, moi sans qui la chance de la vie. Ma redonné une seconde vie. Cette barre qui vous empêche de respirer, de parler. De faire tous mouvements, la douleur que seul, soi a pue connaître. Je vie et j’aime être sur cette terre ou elle ne fait pas de cadeaux. Pourtant je suis monsieur tout le monde. Je l’aime cette vie qui ne donne pas de chance. Me trouve, dans cette pièce, seul dans un coin. De cette pièce une vive lumière ne vous demande pas votre avis. Une grande légèreté de votre corps semble irréelle. Là dans cette pièce ou vous nette plus. Là qu’il est doux de ne rien faire. Là où tout s’anime au tour de vous. Là, suis la, blouse blanches, blouses verte. Eux, leurs joies, leurs combats, le trou noir qui est sans retour. Combattre l’arrêt cardiaque, redonner la vie. Leurs joies, leur plaisir, de vous revoir parmi eux. Je l’aime cette vie, Comme je l’aime, elle qui eu ses yeux tout brillants, Ou dans le coin couler les larmes de l’amour. Merci blouses blanches, merci blouses verte. Voila ma deuxième vie. Je l’aime cette vie.
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Enregistré le 22 Décembre 2008 à 11:40 par 1118959
Oeuvre Originale
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