Je donne mon hommage aux gamins de la rue. Aux enfants qui ont perdu le royaume d*être heureux, sans espoir de grandir protégés. Aux enfants que l*on abandonne comme de petits chiens. On voit sur leur regard réflété la famine; camarade habituelle, avec l*estomac vide. Mon coeur se déchire devant ce portrait de la misère humaine. Ma bouche veut crier par l*injustice. Mon âme se rebelle. Ma pensée est toujours à eux. Et nous tous-les adultes- nous faison quoi par l*enfance perdue? Magnolia
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