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J'aimerais que le paradis soit equipé d'un téléphone pour entendre ta voix de nouveau. J'ai pensé à toi aujourd'hui, rien de nouveau. J'ai pensé à toi hier et la journée avant aussi Je pense à toi en silence,je mentionne souvent ton nom . Tout ce que je possède sont les mémoires et une photo. ... dans un cadre. Dieu t'a dans ses bras ... Moi je t'ai dans mon coeur... A ma mère deja 15 ans aujourd'hui |
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Tu glisses ton genou entre mes jambes pales. Je résiste… un moment, et le jeu se poursuit. Tu plaque mes épaules, me domine et me tiens, tes mains glissent sur moi, mes épaules, mes seins et ta barbe naissante griffe ma peau satin. Je frémis. Tes doigts doux me séparent et tu fouilles savant, comme on découvre un nid, cherchant les œufs Tes doigts se font légers et d’à-coups insistants. Je découvre mes formes aux allures du toucher. Je bats de mon désir et ruisselle à tes doigts. Ta bouche avide et légère s'abreuve de mes émois, je caresse ta crinière, y enfonce mes doigts et tu sens à ta tête ce que mon ventre dit bas. Je ne peux plus attendre ! Et plus je me débats, et mieux tu me tiens à plat de tes deux mains puissantes. Viens, je te dis, viens… et je suis suppliante. Viens. Je n'en puis plus, mon amour devient haine à l'attente ! Je t'accueille, souveraine et tout mon corps vibre de ce joyeux festin. Mon désir avait faim. Tu taraudes mon ventre en de doux mouvements. Mes cuisses enserrent ton torse et ton poids me dévore. Me voilà empaler comme un papillon mort, mais qui vivrait quand même, pour mieux mourir encore… Nous allons à ce rythme un bon moment quand même, nous arrêtant souvent pour murmurer " je t'aime ". Je m'allège parfois te mettant sur le dos. Tes doigts à mes cuisses s'enfoncent, je sais que tu es prêt, cette fois je renonce. Je vrille sur ton vît, et ton sexe durci m'arrache des clameurs quand nous jouissons en chœur.
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| Impression : Extraordinaire
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Ce n’est pas facile de regarder ta photo Surtout de ne pas pleurer en la voyant C'est pas facile d'aimer la vie quand elle nous a tout pris De voir qu'elle continue et que tout le monde s'habitue Ce n’est pas facile de relire tes lettres Surtout de ne pas effacer l'encre avec mes larmes C'est pas facile de se rappeler du passer Surtout du moment où l'ont s'est ignoré Ce n’est pas facile de revoir tous ses instants Surtout ceux ou nous ne contions plus l'un sur l'autre Ce n’est pas facile d'aller à tous ces endroits Surtout s'il me rappel le toi...le moi...le nous C'est pas facile d'écouter c'est chansons Surtout qu'elle nous faisait pleurer à chaudes larmes Ce n’est pas facile de regarder tes parents Surtout lorsqu'ils me disent à quel point tu m'aimais C'est encore moins facile de vivre sans toi De ne pouvoir te serrer dans mes bras tout ses soirs De t'embrasser en te disant au revoir Ca fait mal de se coucher le soir Et de savoir que je vais faire des cauchemars De savoir que je vais te voir revivre Et à tout coup être déçue a mon réveil Ce n’est pas facile de savoir que je t'aime Et que c'est réciproque pour toi mais de si loin Mais c'est facile de penser qu'il y a une vie après la mort Surtout si je me dis, que nous allons nous retrouver C'est si facile de croire à cette vie, à cette vie sans accident Surtout si notre amour continue aussi grand qu'autrefois Je t'aime Marie-Myriam
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Un coeur, ça nous fait vivre Il est le moteur de toute la machine humaine Il travaille sans relache sans demander sa dîme Pour que chaque partie du corps s'allimentent de façon saine Un coeur, parfois ça nous fais rire Quand il se gonfle de bonheur devant une personne ou une chose Tu sais, cest petits moments où sans même y penser, on affiche un sourire? Comme si on venait de recevoir une rose Un coeur, souvent ça nous fais pleurer Quans il se brise pour avoir perdu ce qu'il a aimé Il devient gros et nous empêche de respirer Comme si la terre venait de s'arrêter de tourner Mon coeur à moi, c'est vrai qu'il est tout ça Mais plus encore, il est à toi Je l'ai un jour déposé au creu de tes bras Et depuis ce jour, il ne bat que pour toi. je t'aime très très fort abdelilah  |
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Tu me manques tant Que j’ai peine à vivre Le moment présent, le jour qui descend La nuit qui arrive ; Exilées dans le temps Les heures s’éternisent, Je ne perçois de leur mouvement Qu’un tout léger bruissement Mais qui à tout coup, me terrorise. Tu me manques tant Vois comme je m’enlise! Dans le sable mouvant De ce sablier trop lent Qui de peur, me paralyse. Son espace m’est trop grand Plus je m’y perds, plus je m’épuise, Dans son vide oppressant Je ne connais plus que tourment J’ai si froid, sous son emprise. Je t’aimais tellement Ce soir encore, le réalise. Je suis là à faire semblant Juste pour rester vivant, L’ennui me dévalise. Le temps se fait pesant Où est ma joie de vivre? Mon soleil, mon printemps Tout ce que j’aimais avant, Et nos éclats de rire.
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Blog mis à jour le 09/08/2022 à 10:54:00
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