Poème Extraordinaire 3 vus 2 Coeurs 30/08/2005 Auteur : |
Je voudrais...
Chanter mon amour et ses accents
Qui roulent et m'épuisent
Les jets de noix, les marrons et la bise
Qui plane et met les feuilles à sang
Etre chêne, geai ou plume de soie
Glycine bleue dans un tilleul tout droit
De l'herbe dans un chemin de pierres
Qui te zèbrerait contre un talus de terre.
Un acacias, des mûres et des lilas,
Senteurs d'antan, du mimosa,
Tu serais ronces ou roses trémières
Et je roulerais dans ta toile, prisonnière.
Mais je ne suis qu'un grillon qui dort
Au portail revêtu de branches d'or...
Tout s'immobilise dans l'argile durci
Qui contraint mon coeur à soupirer sans bruit
Tu n'es encore qu'un refrain
Et chaque nuit,je refais le chemin
Qui dessine les nuages
Autour d'une maison aux tuiles bien sage
Je suis trop amoureuse, à ne savoir que faire,
A pleurer puis à rire sans bien comprendre
S'il me faut, éphémère sous le lierre,
Te chercher ou encore... attendre…
Qui roulent et m'épuisent
Les jets de noix, les marrons et la bise
Qui plane et met les feuilles à sang
Etre chêne, geai ou plume de soie
Glycine bleue dans un tilleul tout droit
De l'herbe dans un chemin de pierres
Qui te zèbrerait contre un talus de terre.
Un acacias, des mûres et des lilas,
Senteurs d'antan, du mimosa,
Tu serais ronces ou roses trémières
Et je roulerais dans ta toile, prisonnière.
Mais je ne suis qu'un grillon qui dort
Au portail revêtu de branches d'or...
Tout s'immobilise dans l'argile durci
Qui contraint mon coeur à soupirer sans bruit
Tu n'es encore qu'un refrain
Et chaque nuit,je refais le chemin
Qui dessine les nuages
Autour d'une maison aux tuiles bien sage
Je suis trop amoureuse, à ne savoir que faire,
A pleurer puis à rire sans bien comprendre
S'il me faut, éphémère sous le lierre,
Te chercher ou encore... attendre…